| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://megajeux.vip-blog.com


jeux
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Catégorie : jeux videos

jeux
VIP-Blog de megajeux
  • 6 articles publiés dans cette catégorie
  • 4 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 19/03/2006 06:43
    Modifié : 30/03/2006 21:22

    Fille (26 ans)
    Origine : 45
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ jeux videos ] [ index ] [ astuces ] [ nouveauté ] [ parrainage ] [ humour ] [ adresse de sites ] [ moi ]

    driver parallel lines

    19/03/2006 09:40



      

    Driver Parallel Lines nous propose une visite guidée de New York City à travers les âges. La série aura-t-elle retrouvé son second souffle après la déconvenue de Driver 3 ?

    Au regard de nos premiers tours de roue dans ce nouvel épisode de Driver, un vague sentiment de déjà-vu anime les débats. Le spectre de la "loi des séries", comme on l’appelle à la rédaction, semble pointer à l’horizon. On espère que Reflections saura nous faire mentir. Mais rien n’est moins sûr.

     La grosse pomme L’action de Driver Parallel Lines se déroule cette fois dans une seule et même mégapole, New York City. Les développeurs ont préféré insister sur l’aspect temporel du scénario plutôt que la variété des destinations. Vous incarnez TK, une petite frappe des banlieues qui ne travaille qu’à la course. Vous êtes driver, transporteur, pilote, comme vous voulez, et votre job consiste à rouler à tombeau ouvert dans les rues de la ville afin d’effectuer le sale boulot de quelques caïds de la pègre locale. L’action se déroule initialement en 1978, voitures et environnements de "Big Apple" ont été modélisés en conséquence. Même l’interface possède un aspect vieillot qui marque bien son appartenance au siècle passé. Une pointe d’originalité qui s’estompe rapidement à la vue de notre espace de jeu, terne, possédant certes une multitude d’objets 3D à démolir mais avec un graphisme obsolète. Au moins l’animation ne souffre pas des ralentissements rencontrés dans Driver 3.

    28 ans à Sing Sing Les premières missions permettent de découvrir les quelques évolutions de jouabilité rajoutées de-ci de-là. Tout d’abord le système de visée, s’il trouve un réel intérêt en voiture, pèche par son manque d’efficacité lors des phases pédestres. Des phases mal organisées et peu jouables. Ensuite, il est possible d’améliorer les bolides que l’on vole afin de personnaliser le design et d’augmenter leurs caractéristiques. L’intérêt reste limité compte tenu de la relative facilité avec laquelle on passe d’un véhicule à l’autre dans le jeu. L’apparition d’une planque offre de stocker des armes à feu et les bonus récupérés au cours des missions, trop répétitives à mon goût. Et ce ne sont pas les missions annexes qui remontent le niveau, présentes en trop petit nombre pour devenir intéressantes.

    Parallel Lines nous donne l’impression d’un Grand Theft Auto : San Andreas amputé d’une grande partie de son contenu. Sans compter que la trame revancharde de l’histoire, dans un New York 28 ans plus tard, tombe radicalement à plat. D’autant que le jeu d’acteurs n’est pas à la hauteur. Little Theft Driver ? Les interactions avec les forces de l’ordre, quant à elles, auraient pu proposer un challenge motivant si l’intelligence artificielle n’était pas si défaillante. On se retrouve à rouler à 30 à l’heure devant une voiture de police, mais faucher des dizaines de passants dans les grandes avenues de la ville n’alerte pas le moindre agent. Le principe était bon, la mise en application mauvaise. Ce Driver ne fera pas date dans la série, qui a besoin d’un grand coup de balai pour repartir sur des bases solides. Peut-être la nouvelle génération de consoles apportera le renouveau tant attendu par les fans






    24 heure chrono

    19/03/2006 09:53



    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir

    Vous avez 24 heures, pas une de plus, pour mettre fin à une menace terroriste visant les intérêts des Etats-Unis. Votre nom : Jack Bauer, membre de la cellule antiterroriste de Los Angeles. Le compte à rebours est lancé.

    Développé par le studio SCEE de Cambridge, 24 Heures Chrono : Le Jeu s'inspire de la série TV éponyme qui en est déjà à sa cinquième saison sur petit écran. Mettant en scène l'acteur Kiefer Sutherland, la saga propose de vivre les événements d'un agent fédéral de la cellule antiterroriste de Los Angeles dans des aventures riches en rebondissements. Est-ce que le jeu vidéo aura su retranscrire toute l'énergie et l'intensité dramatique de son homologue télévisuel ?

    Ces événements se déroulent...
    Pour les puristes, sachez que le scénario de 24 Heures Chrono : Le Jeu s'inscrit entre les saisons 2 et 3 de la sérié télé. Sans dévoiler la trame de l'histoire, vous apprendrez comment Jack Bauer et Chase Edmunds se sont rencontrés et ce qui les a amenés à travailler ensemble. Mais ce ne sont pas les seuls personnages jouables dans l'aventure. Vous pourrez également prendre le contrôle de Tony Almeida, Michelle Dessler, Kim Bauer et d'autres intervenants qui réservent quelques surprises. Les développeurs se sont efforcés de donner une certaine crédibilité au soft en reproduisant de manière soignée les modèles 3D des acteurs. Ainsi, ils sont reconnaissables au premier coup d'œil, voire à la première réplique lâchée.

    Cliquez pour agrandir Car Sony s'est également attaché les services des doublures françaises officielles. Et pour les adeptes de la langue de Shakespeare, même tarif avec les voix originales en anglais. Une marque d'authenticité que tout fan est en droit d'attendre.
    Lutte antiterroriste musclée
    Tous les moyens sont bons pour éradiquer la menace terroriste. Nos agents sont équipés d'un PDA qui affiche les objectifs de la mission en cours et peuvent également utiliser moult dispositifs électroniques afin d'outrepasser la sécurité d'une porte, de détecter des intrus, de brouiller le signal d'émission d'une communication, etc. A chaque fois, l'occasion nous est donnée de mettre à profit nos facultés de réflexion dans des mini-jeux limités dans le temps. On note également une interface originale proposée lors des séances d'interrogatoires. Mais plongeons dans le cœur de l'action. La vue se présente en 3D avec une caméra qui se recentre sur le personnage en mode visée. Un réticule apparaît alors en ciblage automatique et il est possible de viser des points localisés : important lors d'une prise d'otages. Par contre, le problème vient du fait que, sorti du verrouillage automatique, il n'est pas évident de tirer en visée libre et on passe notre temps à sauter d'une cible à l'autre en défouraillant à tout va et en se mettant à couvert de temps en temps.

    Jouabilité : une faille dans le système
    L'arsenal mis à disposition passe en revue un généreux panel d'armes à feu, des joujoux que l'on peut récupérer sur les dépouilles de nos victimes. A ce sujet, le rendu des animations des corps traînés au sol aurait mérité plus d'attention. Il en est de même de l'intelligence artificielle :
    Cliquez pour agrandir ennemis comme coéquipiers sont dotés d'un QI proche de zéro et les missions d'infiltration n'ont que peu de saveur. Ensuite, les phases de poursuite en véhicule sont d'une lenteur et d'un ennui atroce. On aurait pu s'en passer... Et que dire de la durée de vie du jeu si ce n'est qu'elle est beaucoup trop courte.
    Heureusement que nous avons l'ambiance, mais c'est un peu léger pour faire de 24 Heures Chrono : Le Jeu un hit en puissance.

     






    fight night round 3

    19/03/2006 09:56



    Sur le ring il n’y a qu’une loi, celle du K.O. Fight Night Round 3 lance les hostilités sur consoles de salon. Du punch à domicile !

    Qu’on l’attendait ce nouvel opus de la série Fight Night dans les locaux de la rédaction. La série est désormais bien rodée sur PlayStation 2. Mais il reste à savoir si la référence des jeux de boxe a su garder le même élan. Verdict à la fin du troisième round.

    La dure loi du ring
    Les développeurs d’EA Sports ont trouvé la bonne alchimie l’an passé avec
    Fight Night Round 2 . A savoir offrir aux fans de boxe un réalisme spectaculaire sans pour autant perdre en jouabilité et en facilité d’accès. Fort de son système de contrôle aux sticks analogiques, la série garde la même base et affine le gameplay pour des combats dantesques. Les coups fatals constituent une partie essentielle des affrontements, tant pour se sortir des situations difficiles que pour aller chercher le Knock Out.
    Cliquez pour agrandir Mais ces exécutions sont à double tranchant, un coup non porté ou bloqué provoquant une grosse inertie (parfois exagérée) et donnant l’initiative à l’adversaire pour un contre. On retrouve la même interface en combat, sobre et renseignant sur l’état de fatigue et la résistance.
    Trop fatal les coups !
    La modélisation des boxeurs est en progrès, les coupures lacèrent les pommettes, les arcades sourcilières, et les yeux se tuméfient au fur et à mesure des chocs reçus. Rien de tel qu’un passage auprès du "cutman" entre les rounds pour panser les blessures, attention de garder assez d’énergie pour mettre le challenger au tapis. Le mode carrière fait son retour dans une version plus stylisée et reste toujours aussi prenant. Avec son propre boxeur ou en jouant une légende de la discipline, passée ou présente, il s’agit de gravir les échelons à force d’entraînement et de victoires. Les mini-jeux d’entraînement évoluent sur le point graphique mais demeurent identiques dans l’esprit. Marquez beaucoup de points pour augmenter au maximum les caractéristiques de votre athlète. Il est possible de débloquer quantité de tenues et équipements pour augmenter vos performances en match.

    Uppercut en direct
    On note la participation exceptionnelle de Jean-Claude Boutier aux commentaires.
    Cliquez pour agrandir Nul besoin de présenter cette figure de la boxe qui tient bien son rôle en tant que commentateur. Petite déception par contre : l’absence de jeu en ligne pour cette mouture. Si le jeu en réseau n’est pas très répandu sur PlayStation 2, on regrette qu’EA effectue un "tri sélectif" au sein même de sa gamme sport. Quel dommage !
    Toujours est-il que, sans que ce Round 3 soit parfait, il n’y a rien de dommageable à redire sur la prestation du nouveau champion du genre toutes catégories. Un must !




    Autres Screenshots:

    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir


    Commentaire de sema jojo (14/01/2008 19:35) :

    tor dp les aiqule





    fifa street 2

    19/03/2006 10:01



    Les stars du ballon rond rechaussent leurs baskets afin d'écumer les playgrounds les plus en vogue. "Ils sont venus ils sont tous là", comme dirait l'un de nos commentateurs vedette.

    La gamme EA Sports BIG des "Street" commence à être bien fournie. Déjà trois opus pour NBA Street, un NFL Street et donc le deuxième volet de l'homologue footballistique qui fait son entrée sur consoles avec style et musique branchés. Pas vraiment de surprise, il faut l'avouer, mais la recette a fait ses preuves auprès des joueurs qui ne veulent pas passer des heures et des heures sur une simulation trop pointue.

    Jongles en musique
    FIFA Street 2 reprend les éléments de son aîné, à savoir une musique très tendance empruntée aux styles urbains à la mode, des stars authentiques et relookées pour l'occasion, et un jeu très spectaculaire où les footballeurs dictent leurs règles. D'ailleurs, attendez-vous à mouiller le maillot et à manger le sol plus d'une fois, car il est de coutume dans le foot de rue de ne pas prendre de pincettes lorsqu'il s'agit de récupérer le ballon. Les commandes principales restent similaires et on note quelques changements concernant l'exécutions des tricks en tous genres.
    Cliquez pour agrandir Les jongles occupent une place de choix dans ce nouvel épisode et il est vivement conseillé de les combiner aux figures de style présentes par dizaines que l'on doit débloquer au fur et à mesure des matchs. Le résultat en cas de réussite : un coup de fouet à votre jauge de Gamebreaker, le coup spécial ultime à déclencher pour humilier ses adversaires.
    J'te mets la te-hon
    Licence FIFA oblige, les joueurs retrouveront les footballeurs des sélections nationales tel que Ronaldinho, Henry, Rooney, C. Ronaldo, Totti, Riquelme, quantité de stars réunis dans un exercice qui ne leur est pas habituel. Les puristes trouveront cela décalé ; on dira plutôt "original". On alterne entre matchs à 4 contre 4 avec objectifs de victoire variés et défis où on doit enchaîner un maximum de combinaisons dans le temps imparti. Un mode carrière permet de voir son avatar évoluer, créer sa propre équipe et gagner en statistiques en dépensant les points de style durement gagner. Un éditeur permet de créer de la tête au pied son joueur, à l'image des éditeurs de personnages que l'on est habitués à trouver dans les réalisations EA Sports. Vous aurez également la possibilité de créer vos propres terrains de jeu si le cœur vous en dit. Par ailleurs, les développeurs ont mis un point d'honneur à rendre le jeu aussi agréable à l'œil qu'à l'oreille. Ainsi, la bande-son alterne entre rythmes hip hop, rock, drum & bass et latino. Pas moins d'une cinquantaine de titres animent les parties.

    Joli à regarder mais moins à jouer
    Sens du spectacle oblige dans la série, les animations des tricks sont volontairement guidées pour un meilleur rendu visuel. Le problème qui en découle reste qu'on a plus l'impression parfois d'assister à une retransmission télévisuelle que de participer directement au match. Quand l'adversaire nous met en échec, il n'y a plus qu'à regarder
    Cliquez pour agrandir son personnage se prendre un vent sans en avoir le contrôle pendant plusieurs secondes. Cette façon d'aseptiser la difficulté d'exécution des figures ne dessert pas le jeu comme il se doit. En ce sens, FIFA Street 2 est trop "guidé" et aurait mérité des contrôles plus libres, que ce soit en attaque comme en défense.
    Certes le système d'évolution du personnage motive, le jeu à plusieurs se déroule dans la bonne humeur généralisée, mais ça se complique de suite lorsqu'il s'agit de jouer contre l'ordi. Cela dit, le jeu reste fidèle à l'esprit de la série.




    Autres Screenshots:

    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir


    Commentaire de sema jojo (14/01/2008 19:37) :

    un truq de ouf jails le jeux lai pairson ki fais kiss love





    50 Cent : Bulletproof

    19/03/2006 10:03



    50 Cent, alias Curtis Jackson, la star du rap US, possède désormais son propre jeu vidéo. Si le titre semble à l’épreuve des balles, il est loin de résister à la critique.

    Développé par Genuine Games, 50 Cent : Bulletproof emprunte à la culture rap l’un de ses représentants les plus en vogue : 50 Cent. On y voit le virulent rappeur new-yorkais dans un rôle inédit et qui fait actuellement feu de tout bois entre musique, cinéma et donc jeu vidéo. Oui mais voilà, il ne suffit pas de mettre 50 centimes dans un jeu pour que ce soit une entière réussite...

    On fait Fifty, fifty ?
    Bulletproof s’apparente au genre action / aventure, alors que l’on retrouve "50" dans un scénario l’opposant au syndicat du crime et aux gangs les plus puissants de New-York. Aidé de la G-Unit, l’équipe composée de ses fidèles acolytes, il s’agit d’enchaîner les missions de nettoyage avec une brutalité non retenue. Violence gratuite, dialogues très crus, on ne se trouve pas loin d’un
    Grand Theft Auto : San Andreas en terme d’atmosphère. Mais mieux vaut arrêter là la comparaison, tant la suite n’a vraiment rien d’affriolant.
    Cliquez pour agrandir Il faut avouer que l’avatar virtuel de 50 Cent est ressemblant, d’autant que le rappeur a prêté sa voix à la réplique pixellisée qui arpente les rues de Big Apple. Cerise sur le gâteau pour les puristes, Eminem et Dr. Dre occupent deux rôles de choix dans l’histoire principale.
    50 Cent super commando
    50 Cent récupère un arsenal digne de Terminator à travers les niveaux : pistolet automatique, fusil d’assaut, canon scié, lance-roquettes, tous les moyens sont bons pour exploser les vilains. Mais un problème se pose rapidement cela dit. La jouabilité s’avère d’une lourdeur désagréable. Absence de verrouillage de cible, un système de visée maladroit, un pool d’actions trop sommaire et une intelligence artificielle au rabais. Certes, il est possible de débloquer plus d’une vingtaine d’exécutions mais elles ne sont pas réalisables à tous bouts de champ et affichent des animations bien en dessous de la moyenne. L’environnement 3D n’a, quant à lui, rien de convaincant, entre textures pauvres et modèles 3D disproportionnés. L’interface brille par son manque de clarté. Pardonnez ce jeu de mots douteux mais au regard de ce que nous proposent les développeurs on ne peut qu’être aigris.

    Ca ne vaut pas 50 centimes
    On se retrouve trop souvent à chercher la sortie d’un niveau à tâtons, sans repères visuels et des objectifs peu explicites. Ajouté à cela le côté répétitif des niveaux. Si on s’amuse au début, le manque d’originalité des missions nous fait vite rendre la main. 50 Cent : Bulletproof s’appuie sur
    Cliquez pour agrandir la renommée du rappeur et sur la sortie du film de Jim Sheridan pour espérer rallier à sa cause une poignée de gamers fans de rap US mais rien n’y fait. La réalisation est bancale, le scénario fade et ce ne sont pas les quelques bonus vidéos de 50 Cent qui peuvent remonter le niveau global plus que médiocre.
    Bref, il vaut mieux oublier la sortie de ce soft et écouter le dernier album musical de l’artiste, qui lui mérite plus qu’une aumône à 50 centimes.

    Test réalisé par Frédéric Pam.


    Autres Screenshots:

    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir





    the sword of etheria

    19/03/2006 10:05



    Développé par l’équipe à l’origine de Suidoken et de Castlevania, The Sword of Etheria avait tout pour éventuellement devenir un blockbuster. Mais c’est l’emploi du "avait" qui change tout !

    Également connu sous le nom d’Over Zenith au Pays du Soleil Levant, The Sword of Etheria est un jeu d’action aventure plutôt proche d’un beat’em all dont l’action se déroule dans un univers imaginaire. Un monde où cohabite les hommes, les Dieux et les Katenas – une race de guerriers à la croisée des chemins entre être humain et divinité. Asservis par les Dieux, les Katenas ont reçu pour mission de faire respecter les lois injustes imposées par ces divinités aux hommes. Nécessaire à leur existence, ils puisent toute leur énergie de l’Etheria, une source magique inépuisable. Mais la révolte des hommes gronde. Une légende raconte qu’un Élu viendra bientôt délivrer les hommes des Dieux. Ce jour est arrivé.

    T’as fait des Katenas ?
    L’intrigue débute par une cinématique qui met en scène Almira, à la tête d’un groupe de Katenas, venue capturer l’Élue, Dorothy, la sœur du héros, Phyl. Tandis qu’il affronte Almira, l’Etheria lui insuffle la force nécessaire pour vaincre et libérer de l’enchantement son ennemie d’un jour. Mais Dorothy est finalement enlevée par les autres Katenas. La mission "Sauver Dorothy" débute à trois, avec un second Katena, Leon, lui aussi débarrassé de cet envoûtement.
    Cliquez pour agrandir Au menu, de l’action pure et dure. Séduisante sans pour autant être novatrice, l’intrigue implique le joueur jusqu’au bout des ongles. Mais passé l’euphorie des quelques saynètes à la sauce manga, l’heure est à la désillusion.
    Et de dix !
    Nos trois personnages cumulent les lacunes. Seul Phyl est jouable, les autres étant dirigés par une IA un peu faiblarde. Heureusement, vous pouvez ordonner à vos compagnons d’arme de se regrouper autour de Phyl pour joindre les forces de chacun et réaliser des enchaînements spectaculaires. Objectif : réaliser une sorte de passe à dix avec l’ennemi en se le renvoyant les uns les autres et lui en mettre plein les mirettes, ceci à condition d’y parvenir d’un seul trait. Un ennemi abattu via un simple coup d’épée rapportera peu de points d’expérience, à la différence d’un enchaînement de combos combiné par notre dream team. Un détail qui a son importance car The Sword of Etheria introduit une pincée de RPG. Les aptitudes des personnages évoluent, des items peuvent être achetés pour soigner ou équiper, etc.

    Lassitude au menu
    Linéaire, sans objectifs secondaires à remplir, répétitif, le jeu propose de surcroît une intrigue sans surprise, des niveaux qui se ressemblent tous et un gameplay trop juste. La lassitude finit par gagner le joueur. Quant à la jouabilité, la caméra automatique manque de précision et n’est pas toujours bien positionnée lors des affrontements.
    Cliquez pour agrandir Malgré une réalisation acceptable, l’esthétisme général fait peine à voir : le level design est pauvre, les niveaux sont étriqués et vides, les textures ternes et peu détaillées. Du côté des héros, les couleurs pètent un maximum lorsqu’ils se transforment tout comme les effets spéciaux des attaques de groupe.
    C’est un véritable 14 juillet que nous offrent notre trio de Bioman ! Malgré des bases intéressantes, le résultat est insipide.

    Testé par Force Guimauve Richard Roger.


    Autres Screenshots:

    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir
    Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir Cliquez pour agrandir





    1
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact megajeux ]

    © VIP Blog - Signaler un abus