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fifa street 2
19/03/2006 10:01
Les stars du ballon rond rechaussent leurs baskets afin d'écumer les playgrounds les plus en vogue. "Ils sont venus ils sont tous là", comme dirait l'un de nos commentateurs vedette.
La gamme EA Sports BIG des "Street" commence à être bien fournie. Déjà trois opus pour NBA Street, un NFL Street et donc le deuxième volet de l'homologue footballistique qui fait son entrée sur consoles avec style et musique branchés. Pas vraiment de surprise, il faut l'avouer, mais la recette a fait ses preuves auprès des joueurs qui ne veulent pas passer des heures et des heures sur une simulation trop pointue.
Jongles en musique FIFA Street 2 reprend les éléments de son aîné, à savoir une musique très tendance empruntée aux styles urbains à la mode, des stars authentiques et relookées pour l'occasion, et un jeu très spectaculaire où les footballeurs dictent leurs règles. D'ailleurs, attendez-vous à mouiller le maillot et à manger le sol plus d'une fois, car il est de coutume dans le foot de rue de ne pas prendre de pincettes lorsqu'il s'agit de récupérer le ballon. Les commandes principales restent similaires et on note quelques changements concernant l'exécutions des tricks en tous genres.
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Les jongles occupent une place de choix dans ce nouvel épisode et il est vivement conseillé de les combiner aux figures de style présentes par dizaines que l'on doit débloquer au fur et à mesure des matchs. Le résultat en cas de réussite : un coup de fouet à votre jauge de Gamebreaker, le coup spécial ultime à déclencher pour humilier ses adversaires.
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J'te mets la te-hon Licence FIFA oblige, les joueurs retrouveront les footballeurs des sélections nationales tel que Ronaldinho, Henry, Rooney, C. Ronaldo, Totti, Riquelme, quantité de stars réunis dans un exercice qui ne leur est pas habituel. Les puristes trouveront cela décalé ; on dira plutôt "original". On alterne entre matchs à 4 contre 4 avec objectifs de victoire variés et défis où on doit enchaîner un maximum de combinaisons dans le temps imparti. Un mode carrière permet de voir son avatar évoluer, créer sa propre équipe et gagner en statistiques en dépensant les points de style durement gagner. Un éditeur permet de créer de la tête au pied son joueur, à l'image des éditeurs de personnages que l'on est habitués à trouver dans les réalisations EA Sports. Vous aurez également la possibilité de créer vos propres terrains de jeu si le cœur vous en dit. Par ailleurs, les développeurs ont mis un point d'honneur à rendre le jeu aussi agréable à l'œil qu'à l'oreille. Ainsi, la bande-son alterne entre rythmes hip hop, rock, drum & bass et latino. Pas moins d'une cinquantaine de titres animent les parties.
Joli à regarder mais moins à jouer Sens du spectacle oblige dans la série, les animations des tricks sont volontairement guidées pour un meilleur rendu visuel. Le problème qui en découle reste qu'on a plus l'impression parfois d'assister à une retransmission télévisuelle que de participer directement au match. Quand l'adversaire nous met en échec, il n'y a plus qu'à regarder
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son personnage se prendre un vent sans en avoir le contrôle pendant plusieurs secondes. Cette façon d'aseptiser la difficulté d'exécution des figures ne dessert pas le jeu comme il se doit. En ce sens, FIFA Street 2 est trop "guidé" et aurait mérité des contrôles plus libres, que ce soit en attaque comme en défense.
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Certes le système d'évolution du personnage motive, le jeu à plusieurs se déroule dans la bonne humeur généralisée, mais ça se complique de suite lorsqu'il s'agit de jouer contre l'ordi. Cela dit, le jeu reste fidèle à l'esprit de la série.
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Autres Screenshots:
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Commentaire de sema jojo (14/01/2008 19:37) :
un truq de ouf jails le jeux lai pairson ki fais kiss love
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50 Cent : Bulletproof
19/03/2006 10:03
50 Cent, alias Curtis Jackson, la star du rap US, possède désormais son propre jeu vidéo. Si le titre semble à l’épreuve des balles, il est loin de résister à la critique.
Développé par Genuine Games, 50 Cent : Bulletproof emprunte à la culture rap l’un de ses représentants les plus en vogue : 50 Cent. On y voit le virulent rappeur new-yorkais dans un rôle inédit et qui fait actuellement feu de tout bois entre musique, cinéma et donc jeu vidéo. Oui mais voilà, il ne suffit pas de mettre 50 centimes dans un jeu pour que ce soit une entière réussite...
On fait Fifty, fifty ? Bulletproof s’apparente au genre action / aventure, alors que l’on retrouve "50" dans un scénario l’opposant au syndicat du crime et aux gangs les plus puissants de New-York. Aidé de la G-Unit, l’équipe composée de ses fidèles acolytes, il s’agit d’enchaîner les missions de nettoyage avec une brutalité non retenue. Violence gratuite, dialogues très crus, on ne se trouve pas loin d’un Grand Theft Auto : San Andreas en terme d’atmosphère. Mais mieux vaut arrêter là la comparaison, tant la suite n’a vraiment rien d’affriolant.
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Il faut avouer que l’avatar virtuel de 50 Cent est ressemblant, d’autant que le rappeur a prêté sa voix à la réplique pixellisée qui arpente les rues de Big Apple. Cerise sur le gâteau pour les puristes, Eminem et Dr. Dre occupent deux rôles de choix dans l’histoire principale.
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50 Cent super commando 50 Cent récupère un arsenal digne de Terminator à travers les niveaux : pistolet automatique, fusil d’assaut, canon scié, lance-roquettes, tous les moyens sont bons pour exploser les vilains. Mais un problème se pose rapidement cela dit. La jouabilité s’avère d’une lourdeur désagréable. Absence de verrouillage de cible, un système de visée maladroit, un pool d’actions trop sommaire et une intelligence artificielle au rabais. Certes, il est possible de débloquer plus d’une vingtaine d’exécutions mais elles ne sont pas réalisables à tous bouts de champ et affichent des animations bien en dessous de la moyenne. L’environnement 3D n’a, quant à lui, rien de convaincant, entre textures pauvres et modèles 3D disproportionnés. L’interface brille par son manque de clarté. Pardonnez ce jeu de mots douteux mais au regard de ce que nous proposent les développeurs on ne peut qu’être aigris.
Ca ne vaut pas 50 centimes On se retrouve trop souvent à chercher la sortie d’un niveau à tâtons, sans repères visuels et des objectifs peu explicites. Ajouté à cela le côté répétitif des niveaux. Si on s’amuse au début, le manque d’originalité des missions nous fait vite rendre la main. 50 Cent : Bulletproof s’appuie sur
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la renommée du rappeur et sur la sortie du film de Jim Sheridan pour espérer rallier à sa cause une poignée de gamers fans de rap US mais rien n’y fait. La réalisation est bancale, le scénario fade et ce ne sont pas les quelques bonus vidéos de 50 Cent qui peuvent remonter le niveau global plus que médiocre. |
Bref, il vaut mieux oublier la sortie de ce soft et écouter le dernier album musical de l’artiste, qui lui mérite plus qu’une aumône à 50 centimes.
Test réalisé par Frédéric Pam.
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the sword of etheria
19/03/2006 10:05
Développé par l’équipe à l’origine de Suidoken et de Castlevania, The Sword of Etheria avait tout pour éventuellement devenir un blockbuster. Mais c’est l’emploi du "avait" qui change tout !
Également connu sous le nom d’Over Zenith au Pays du Soleil Levant, The Sword of Etheria est un jeu d’action aventure plutôt proche d’un beat’em all dont l’action se déroule dans un univers imaginaire. Un monde où cohabite les hommes, les Dieux et les Katenas – une race de guerriers à la croisée des chemins entre être humain et divinité. Asservis par les Dieux, les Katenas ont reçu pour mission de faire respecter les lois injustes imposées par ces divinités aux hommes. Nécessaire à leur existence, ils puisent toute leur énergie de l’Etheria, une source magique inépuisable. Mais la révolte des hommes gronde. Une légende raconte qu’un Élu viendra bientôt délivrer les hommes des Dieux. Ce jour est arrivé.
T’as fait des Katenas ? L’intrigue débute par une cinématique qui met en scène Almira, à la tête d’un groupe de Katenas, venue capturer l’Élue, Dorothy, la sœur du héros, Phyl. Tandis qu’il affronte Almira, l’Etheria lui insuffle la force nécessaire pour vaincre et libérer de l’enchantement son ennemie d’un jour. Mais Dorothy est finalement enlevée par les autres Katenas. La mission "Sauver Dorothy" débute à trois, avec un second Katena, Leon, lui aussi débarrassé de cet envoûtement.
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Au menu, de l’action pure et dure. Séduisante sans pour autant être novatrice, l’intrigue implique le joueur jusqu’au bout des ongles. Mais passé l’euphorie des quelques saynètes à la sauce manga, l’heure est à la désillusion.
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Et de dix ! Nos trois personnages cumulent les lacunes. Seul Phyl est jouable, les autres étant dirigés par une IA un peu faiblarde. Heureusement, vous pouvez ordonner à vos compagnons d’arme de se regrouper autour de Phyl pour joindre les forces de chacun et réaliser des enchaînements spectaculaires. Objectif : réaliser une sorte de passe à dix avec l’ennemi en se le renvoyant les uns les autres et lui en mettre plein les mirettes, ceci à condition d’y parvenir d’un seul trait. Un ennemi abattu via un simple coup d’épée rapportera peu de points d’expérience, à la différence d’un enchaînement de combos combiné par notre dream team. Un détail qui a son importance car The Sword of Etheria introduit une pincée de RPG. Les aptitudes des personnages évoluent, des items peuvent être achetés pour soigner ou équiper, etc.
Lassitude au menu Linéaire, sans objectifs secondaires à remplir, répétitif, le jeu propose de surcroît une intrigue sans surprise, des niveaux qui se ressemblent tous et un gameplay trop juste. La lassitude finit par gagner le joueur. Quant à la jouabilité, la caméra automatique manque de précision et n’est pas toujours bien positionnée lors des affrontements.
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Malgré une réalisation acceptable, l’esthétisme général fait peine à voir : le level design est pauvre, les niveaux sont étriqués et vides, les textures ternes et peu détaillées. Du côté des héros, les couleurs pètent un maximum lorsqu’ils se transforment tout comme les effets spéciaux des attaques de groupe.
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C’est un véritable 14 juillet que nous offrent notre trio de Bioman ! Malgré des bases intéressantes, le résultat est insipide.
Testé par Force Guimauve Richard Roger.
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exolandia
19/03/2006 11:47
venez jouer et mettezz moi comme parrain
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si on pouvait faire ca avec tout les chat lol
19/03/2006 16:18
sa serait bien vous ne trouver pas
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chat m'endort
19/03/2006 16:19
mdrrrrrr
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photo de chat marrant
19/03/2006 16:38
ils sont trop bo


lui il est magnifique
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drole de chient
19/03/2006 16:47



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a regarder absolument
19/03/2006 16:50
je l'adore celle la trop trop mignone surtout lire ce qu'il disent
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enfant ado adulte
30/03/2006 21:22
Tu es un enfant... quand tu n'as rien à dire au téléphone Tu es un ado... quand tu parles des heures au téléphone Tu es un adulte... quand tu paies les factures de téléphone
Tu es un enfant... quand tu ne sais pas ce que tu veux faire dans la vie Tu es un ado... quand tu as le goût de ne rien faire dans la vie Tu es un adulte... quand tu te demandes pourquoi tu n'as rien fait dans la vie
Tu es un enfant... quand tu t'habilles comme ta mère veut Tu es un ado... quand tu t'habilles comme tu veux Tu es un adulte... quand tu t'habilles comme tu peux
Tu es un enfant... quand tu dors toute la nuit Tu es un ado... quand tu dors toute la journée Tu es un adulte... quand tu n'arrives plus à dormir
Tu es un enfant... quand tu ne sais même pas que tu vis Tu es un ado... quand tu dis que tu n'as jamais demandé à vivre Tu es un adulte... quand tout ce qu'il te reste, c'est le savoir vivre
Tu es un enfant... quand tu apprends continuellement Tu es un ado... quand tu n'apprends plus rien du tout Tu es un adulte... quand tu as tout oublié
Tu es un enfant... quand tu ne comprends rien de ce qu'on te dit Tu es un ado... quand personne ne comprend rien de ce que tu dis Tu es un adulte... quand ce que tu dis n'intéresse plus personne.
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